Quels freins, quels accélérateurs ?
Quel intérêt d’un principe d’innovation ?
L’Association des Centraliens et le MEDEF lancent une enquête auprès de leurs membres pour mieux évaluer les facteurs clés de succès ou les causes d’échec dans les processus d’innovation en vue d’examiner l’opportunité et les conditions de la mise en œuvre d’un principe d’ innovation dans la réglementation nationale.
Il s’agit tout particulièrement de mieux cerner, au vu de leur expérience :
Une première définition du principe d’innovation a été avancée ainsi que des «conditions d’application» dans le cadre de consultations de l’Office Parlementaire des Choix Scientifiques et Technologiques (OPECST) qui a initié un large débat en juin et novembre 2014.
« Le principe d’innovation garantit le droit pour tout organisme de recherche et tout opérateur économique de mettre en place et de conduire des activités consistant à développer des produits, services, procédés, modes d’organisation, pratiques sociales ou usages nouveaux ou sensiblement améliorés par rapport à ce qui est disponible sur le marché ».
« Ce principe est facteur de développement des connaissances scientifiques et de progrès technique, social et humain, au service de la société. Il est garanti par les autorités publiques dans l’exercice de leurs compétences et sert notamment de référence dans l’évaluation des bénéfices et des risques conduite par ces autorités. Les autorités publiques promeuvent ce principe dans le cadre de la détermination et de la mise en œuvre des politiques nationales ».
Nous vous invitons à répondre à cette enquête qui se limite à quatre principales séries de questions. Une réponse complète ne devrait pas prendre plus de 15 minutes.
L’Association des Centraliens et le MEDEF exploiteront les réponses et en tireront des enseignements qui seront partagés avec l’ensemble de leurs membres.
Il s’agit tout particulièrement de mieux cerner, au vu de leur expérience :
- les freins et les accélérateurs rencontrés dans les processus d’innovation en France
- l’intérêt potentiel d’un principe d’innovation qui pourrait être introduit dans la Constitution ou dans un texte réglementaire.
Une première définition du principe d’innovation a été avancée ainsi que des «conditions d’application» dans le cadre de consultations de l’Office Parlementaire des Choix Scientifiques et Technologiques (OPECST) qui a initié un large débat en juin et novembre 2014.
« Le principe d’innovation garantit le droit pour tout organisme de recherche et tout opérateur économique de mettre en place et de conduire des activités consistant à développer des produits, services, procédés, modes d’organisation, pratiques sociales ou usages nouveaux ou sensiblement améliorés par rapport à ce qui est disponible sur le marché ».
« Ce principe est facteur de développement des connaissances scientifiques et de progrès technique, social et humain, au service de la société. Il est garanti par les autorités publiques dans l’exercice de leurs compétences et sert notamment de référence dans l’évaluation des bénéfices et des risques conduite par ces autorités. Les autorités publiques promeuvent ce principe dans le cadre de la détermination et de la mise en œuvre des politiques nationales ».
Nous vous invitons à répondre à cette enquête qui se limite à quatre principales séries de questions. Une réponse complète ne devrait pas prendre plus de 15 minutes.
L’Association des Centraliens et le MEDEF exploiteront les réponses et en tireront des enseignements qui seront partagés avec l’ensemble de leurs membres.